La publication des résultats des évaluations nationales 2025 confirme une nouvelle fois l’écart entre la communication du ministère et la réalité constatée dans les classes. Si le ministère évoque une « forte mobilisation » des enseignant•es, celle-ci n’existe pas : les évaluations sont passées parce que les équipes y sont contraintes sous menace de sanctions. Seule une relation de confiance, non fondée sur des pressions hiérarchiques, permettrait de créer de véritables dynamiques positives, alors que 46 % des professeur•es des écoles déclarent être en situation de stress (TALIS).